Premier cour {Mathématiques}

Asuma se réveilla à 6h00 pour se rendre au lycée.
Il chevaucha sa Kawasaki zx-6r et fonça en cours. Le quartier était très calme,
les chats miaulaient, les éboueurs ramassent les poubelles, les mendiants
dorment… Asuma était heureux d’avoir eut son bac Master. Une fois arrivé au lycée,
il gara sa moto et vit une femme se faire arraché son sac. Il coura donc l’aidé.
Une fois le voleur rattrapé, Asuma le frappa d’un coup de coude dans le torse.
Une fois a terre, il enchaîna plusieurs coups de point dans le nez. Après avoir
rendu le sac a la jeune femme, il entra au lycée. Il était immense. Il se perdit.
Asuma décida alors de demander son chemin. On lui montra sa salle. Il vint. La
salle était vide, remplis de bout de papier. Il sourit et se mit a rangé la
salle. Lui il inscrivit au tableau :



Mathématique



Professeur : Asuma
Sayégo



Chapitre 1 : L’algèbre



Cour1 : Les bases de l'algèbre

Cour2 : La division

Cour3 : Les nombres relatifs

Cour4 : Additionné les nombres relatif

Cour5 : Soustraire les nombres relatifs

Cour6 : Multiplié les nombres relatifs

Cour7 : Divisé les nombres relatifs

Dernier Cour : Le grand Contrôle.



Asuma s’assis et se mit à lire les dossiers scolaires des élèves.

Feng passait une nuit affreusement inconfortable. Il n’arrêta pas de remuer dans tous les sens, gesticulant à la façon d’un condamné à mort qui se débattait avant qu’on ne l’enchaîne sur un brancard après quoi on viendrait l’anesthésier. Peut-être que ce remue ménage n’était qu’une simple preuve qu’il ne s’était pas encore adapté à cette institution … ou alors, ce n’était qu’une simple nuit où il se trouvait dans un état passager. Le réveil ne fut de ce fait en aucun cas difficile. Il se hâta de rejoindre la salle de bain, se débarbouilla énergiquement et enfila une paire de chaussette, un caleçon avant de filer s’habiller correctement. La vision encore floue, il se dirigea vers le refectoire et pris son petit-déjeuner, aussi solitaire qu’un explorateur au fin fond de l’Antarctique. Une fois son encas engloutit, Feng traîna des pieds jusque devant la salle où un professeur - puisse t-il être des plus aimables – et se laissant, les yeux pétillant tant la lumière du couloir l’éblouissait, glisser lentement contre le mur.

Feng entendait parfois quelques tappotements, quelques cliquetis ou encore quelques quintes de toux. Il comprit alors qu’il n’était pas réellement en avance comme il avait pû le penser. Fichtre ! Et s’il était dors et dejà en retard ? Non, ce ne pouvait pas être ça, la cloche n’avait pas encore retentit … tient, elle résonnait alors brisant le silence du batîment.

Il se leva, non sans mal mais le cœur y était, et s’élança face à la porte. Tient, elle était ouverte, peut-être ne l’avait-il pas vu depuis son arrivée ou était-ce simplement le bruit de la sonnerie qui avait couvert le grincement de cette planche de bois. De toute manière, la question n’avait pas lieu d’être posée, il fallait tout bonnement passer le seuil, lancer un ou deux mots visant à donner une impression assez présentable et se diriger vers une table vide.

"Bonjour" prononça t-il à la vue de l’homme qui se dressait fièrement entre son bureau et le tableau. Il ne prit pas le temps de l’inspecter, mais à la longue et du fait que les maths ne soient pas une matière particulièrement attirante pour lui, il trouverait bien le temps de toiser son enseignant. Feng défilait à présent entre les tables, apercevant une jeune fille à laquelle il s’empressa d’esquisser un vif sourire et s’installa au banc qui lui semblait le plus adéquat. Ni trop au fond, ni trop à la porté du professeur.

La brunette avait de grand yeux devenu tout petit a cause d'une grande fatigue. Certes cette jeune fille n'avait pas dormir préférant jouer à sa console de jeu vidéo, et s'acharner sur diverse monstres. Elle c'était quand même retenu de pousser des cris dans sa chambre, et au matin celle ci avait dormit environ 3 minutes. Et oui le réveil avez sonné, elle se trouver devant sa glace à regarder son visage terne de fatigue et ses grosse cerne. Himeji pratiqua la méthode de camouflage avec 3 café et beaucoup de fondtein mais pas trop quand même. Une seule idée lui venait en tête: dormir.

A la jeunesse, la demoiselle prit son mp3 et se mit le son à fond pur bien se réveiller avant le 1er cours. D'ailleurs ? La sonneries avait déjà sonné depuis un moment et elle flânait toujours dans les couloirs un livre de français à la main. Ce matin elle avait quand même réussit à s'habiller d'une jupe rouge et d'une chemise blanche, mais elle n'avait pas eu le temps de mettre sa pince dans ses cheveux et les avait laisser détacher.

*Je vais sûrement avoir des ennuies. ._.*

Elle arriva à une porte, elle vérifia le numéro de la porte et toqua avant d'entrée. Elle poussa un long soupire et rentra dans la salle avec un grand sourire comme ci, son retard n'avait était remarquer. Elle avait penser tout de même à couper son appareil à défoncer les oreilles.

"Bonjouur!"

Sans prêter d'oeil pour le professeur celle ci fila vers le fond de la classe et trouva une table et une superbe chaise accoter d'un jolie mur. Celle ci posa son livre de français et s'assit tout en douceur à moitié collé contre le mur. Ses yeux dérivèrent vers le tableau et regarda ce qu'il y avait de si intéressant pour l'année.

*On va s'amuser...*

Hime s'avachit déjà sur sa table prête à s'endormir à n'importe qu'elle moments.

Yumi venant à peine d'arriver dans l'école décida de ranger ses affaires, après quoi elle pénètra dans la salle de mathematique. Plusieurs élèves étaient déja là la cloche ayant déjà sonnait de puis un moment. Elle adressa un sourire au proffeseur est dit:

" Bonjour, excusez mon retard mais je me suis un peu perdue dans les couloir."

Elle alla ensuite s'asseoir ensuite au deuxième rang, elle n'aimait etre ni devant ni au fond, c'est là où selon elle on se faisait remarquer. Elle sortie ses affaires qu'elle avait méticuleusement préparé auparavant pour etre sure de ne rien oublier. Elle posa ensuite ses coudes sur la table attendant la debut du cour.

Byakuya venait de se lever, il enfila une chemise noir de la marque européenne Hugo Boss et un pantalon noir. Il ne prit pas la peine fermer sa chemise. Il laissa apparaitre son torse musclé car il aimait sentir le vent sur son ventre. Donc, il ouvrit le porte de sa chambre et commença le chemin en direction des salle de cours. Il voulait au moins aller dans un cour car depuis qu'il était arrivé, il n'avait assisté à aucun de ceux-la. Byakuya entama une marche lente et tranquille il n'avait pas envie de se présser car la matière où il se rendait, était les Maths. Cette ne plaisait pas beaucoup au jeune homme mais ce n'était pas une corvée non plus d'y aller. Il était dans un couloir mais il ne savait pas du tout où il menait ce fameux couloir. Puis, la cloche sonna et il se dit qu'il était en retard. Et puis mince s'il devait être en retard tanpis il inventerais une excuse. Il continua le long de ce couloir et arriva à une porte où était marqué cours de mathématiques. Enfin, il était arrivé à la destination désiré. Il ne prit pas la peine de touquer et entra. Il vit le professeur devant le tableau où il y avait marqué son nom et le programme. En voyant ça , Byakuya pensa qu'il ne sera pas sortit de l'auberge!! Bref, il avança d'un pas et observa la salle, déjà quelques éléves était là. Il dit au professeur:

Yo! désolé d'être en retard!!

Sur ces mots il avança toujours avec sa chemise noir ouverte qui laissa échapper son parfum d'une senteur douce et sucrée. Il alla s'assoir ni trop au fond ni trop devant, sans même attendre la réponse du professeur. Il regarda par la fenêtre et pensa à toutes sorte de choses le temps que le cour commence.

Leur professeur expliqua quelques règles de base et inscrit au tableau le contenut de ses cours. Le premier porté sur l'algèbre, le cour fut indroduit par la question , qu'est ce que l'algèbre.Voyant que personne ne semblait motivé pour répondre Yumi leva la main, le professeur lui fit signe qu'elle pouvait répondre:

" Je dirais que l'algèbre c'est l'étude d'un ou de plusieurs ensembles mathématique."

Esperant ne pas avoir trop simplifié l'explication, elle sourie à son professeur.

* J'espère qu'il n'attend pas une réponse très complète.*

Elle avait toujours était un bonne élève, mais définir un terme mathématique lui semblait assez compliqué. Ses ancien professeur se comptantaient de compléter les réponse des élèves sans approfondir réellement.

Les maths … ah, il était donc en maths. Cette notion, elle avait failli lui filer.

Il entendit des mots, comme s’ils provenaient de l’autre bout du monde … d’une voix lointaine, envoûtante comme assourdissante. Eh pourtant, ce n’était que le professeur en personne. Fichtre ! Gabriel pouvait garder ses formes et ses manières gracieuses, ici, tout n’était que lourdeur et superficiel. Mais où étaient passés l’apesanteur et l’évasion … Etait-ce si asphyxiant que de vivre dans une métropole à des milliers de lieux d’une moindre parcelle de beauté, d’une nature prenante et bénéfique.

De la force, oui, c’était cela qu’il lui fallait. Sinon, combien de temps tiendrait-il enfermé ici ? Nul ormi lui ne le sait.

C’est alors qu’il susurra rapidement la phrase dont il se rappelait, celle qui était inscrite dans son ancien cahier de mathématiques.

« L'algèbre est la branche des mathématiques qui étudie les structures algébriques, indépendamment de la notion de limite ,rattachée à l'analyse, et de la notion de représentation graphique rattachée à la géométrie. »

Nul. C’était nul à en vomir. Qu’est-ce qui était plus absurde que d’énoncer une phrase apprise bêtement par cœur et qui, d’elle-même, n’avait pas de sens si on la plaçait dans un contexte mal définit ? D’un autre côté, il fallait bien avoir quelques notions en tête … mais tout ceci était tout de même d’une nigauderie épouvantable.
Il n’avait plus regardé le professeur depuis son entrée dans la salle. Son regard ne quittait pas le bureau en face duquel il se tenait assis. Feng, un être fugitif au monde utopique.

deux personnes venaient de répondre à la question posée par le professeur. Mitsuki avait écouté attentivement ce qu'ils avaient répondu, elle avait beau fouiller dans sa mémoire elle ne trouvait rien du tout qui correspondait à ce qu'ils avaient dit. C'est comme si elle n'avait jamais vu ce qu'était l'algèbre.
*Mon dieu Mitsuki! tu aurais dû réviser tes maths pendant les vacances. Regarde le résultat. Tu ne peux même pas parler de ce sujet. Tu es vraiment nulle...* Elle avait le regard vide. Qu'allait-elle faire si jamais elle échouait.
Elle se devait d'être attentive dans cette matière où elle avait quelques lacunes. Quand le cours sera écrit, elle devra l'apprendre par coeur. Voilà ce qu'elle se dit.
Elle attendit que le professeur réagisse aux réposes données.